Gants Dainese TEMPEST 2 D-DRY WOMAN

Les Dainese TEMPEST 2 D-DRY Woman sont des gants moto hiver pour femme pensés pour rouler par mauvais temps sans se transformer en glaçon. Membrane D-Dry imperméable et respirante, tissu extensible dans les 4 sens et doublure thermique Fiberfill : la base est clairement orientée confort et protection contre le froid. Dainese ajoute une coque Comf-tek en PU viscoélastique sur le dos de la main, des renforts cuir au bout des doigts et une paume en daim synthétique pour garder du feeling sur les commandes. L’équipement est complété par des doigts pré-courbés, un serrage manchette efficace, des inserts réfléchissants, un essuie-écran sur l’index et le système Smart Touch compatible écran tactile. Bref, un gant hivernal complet, certifié CE EN 13594:2015 niveau 1, taillé pour les trajets quotidiens comme pour les balades froides et humides.

Meilleur prix

116,90 

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POINTS FORTS
  • Imperméabilité D-Dry très efficace
  • Coupe spécifiquement adaptée femme
  • Bonne isolation Fiberfill hivernale
  • Confort et souplesse au quotidien
  • Smart Touch et essuie-visière pratiques
POINTS FAIBLES
  • Trop chaud au-dessus de 15°C
  • Usage limité aux saisons froides
  • Protection seulement niveau 1 CE
  • Sensation moins fine sur commandes
  • Paume daim synthétique moins durable

Guide des tailles

Mesdames, comment choisir la taille de vos gants moto Dainese ?

Nous vous proposons de mesurer votre tour de main, au niveau de la pliure du pouce, sans ce dernier. Ensuite, reportez-vous au tableau ci-dessous :

FEMME

Taille universelle XS S M L
Tour de main en cm 15.2 16.5 17.8 19.1

Notre test

Dainese TEMPEST 2 D-DRY Woman : le gant hiver qui n’a pas peur de la pluie

Le Dainese TEMPEST 2 D-DRY Woman, c’est le gant typé touring-urbain qu’on enfile quand la météo annonce : pluie, froid, et re-pluie. Conçu spécifiquement pour la morphologie féminine, il mise sur une membrane D-Dry imperméable, une doublure chaude et un tissu extensible pour garder mobilité et confort malgré les couches. On est clairement sur du gant moto hiver femme polyvalent : navettes boulot, périph sous la flotte, week-ends de décembre… tout est dans son cahier des charges. Dainese y ajoute des protections conformes à la norme CE EN 13594:2015 cat. II niveau 1, plus quelques détails malins comme le Smart Touch pour l’écran tactile et un essuie-visière sur l’index. Sur le papier, c’est du sérieux. Restait à voir ce que ça donne une fois au guidon, sous un vrai ciel bien pourri.

Design & Finitions : du sérieux à l’italienne, sans chichis

Visuellement, les Dainese TEMPEST 2 D-DRY Woman jouent la carte de la sobriété. On est loin du gant racing à grosses coques apparentes : ici, tout est intégré, propre, discret. Le look est typé touring/urbain, facile à assortir avec un textile ou un cuir sobre. La coque Comf-tek en PU viscoélastique sur le dos de la main se devine plus qu’elle ne s’exhibe, ce qui plaira à celles qui veulent de la protection sans effet « robot ». Le volume global reste contenu pour un gant hiver, surtout au niveau de la manchette qui passe facilement sous la plupart des vestes. Les inserts réfléchissants sont bien placés, visibles sans transformer le gant en guirlande. Bref, il fait sérieux, sans se la raconter.

Côté matériaux, Dainese mélange tissu extensible 4-way, cuir et daim synthétique sur la paume. Le résultat est plutôt cohérent : zones souples là où il faut de la mobilité, et renforts cuir sur les extrémités des doigts pour encaisser l’usure des leviers. Les coutures sont propres, régulières, aucune sur-épaisseur franchement gênante à signaler. Les doigts pré-courbés donnent tout de suite un bon tombé sur le guidon, on n’a pas cette impression de gants « carton » qu’on retrouve parfois dans le pur hiver entrée de gamme. La membrane D-Dry est parfaitement intégrée, sans pli bizarre ni sensation de sac plastique. On sent que le produit est pensé pour un usage réel, pas juste pour cocher des cases techniques. En clair : design sobre, exécution propre, et zéro détail criard.

Confort & Maniabilité : chaud, souple… et encore utilisable au feu rouge

En enfilant les TEMPEST 2 D-DRY Woman, la première impression, c’est la douceur intérieure. La doublure thermique Fiberfill enveloppe bien la main sans être trop volumineuse, ce qui est souvent le piège des gants hiver. Il y a un léger effet “cocoon”, mais on garde une bonne capacité à plier les doigts. Le tissu extensible dans les 4 sens aide clairement : la main se place facilement sur les commandes, même pour les petites mains qui peinent parfois avec des gants trop rigides. La coupe femme est réussie, moins large et mieux cintrée que certains « unisexes » déguisés. Le serrage de la manchette est efficace : on peut l’ajuster pour éviter les entrées d’air sans devoir forcer comme une brute sur le velcro. Sur un trajet quotidien, on oublie assez vite qu’on porte des gants hiver, et ça, ce n’est pas si courant.

Côté maniabilité, forcément, on n’est pas au niveau d’un gant mi-saison ou été, mais pour un gant moto hiver imperméable, le résultat est franchement bon. Les doigts pré-courbés limitent la fatigue sur les longs trajets et aident à garder un feeling correct sur les leviers. La paume en daim synthétique offre une accroche honnête sur les poignées, même mouillées. On arrive sans difficulté à manipuler les commodos, les warnings, ou un intercom, même si les boutons très petits demanderont parfois un deuxième essai. Le système Smart Touch est un vrai plus pour pianoter un code ou lancer un GPS à l’arrêt, sans enlever les gants. Non, vous n’allez pas rédiger un roman sur votre smartphone avec, mais pour les actions rapides, ça fait le job. Bref : confort globalement très bon, utilisable au quotidien sans se battre avec ses mains.

Confort :
8.5 / 10

Protection & Sécurité : niveau 1, mais bien pensé pour le quotidien

Les Dainese TEMPEST 2 D-DRY Woman sont certifiés CE – Cat. II – EN 13594/2015, niveau 1. Traduction : on est sur une protection sérieuse pour un usage routier, adaptée à un gant touring/urbain, sans logique purement sportive. La coque Comf-tek en PU viscoélastique sur le dos de la main se charge d’absorber les chocs en cas d’impact. Elle est assez souple pour ne pas gêner au quotidien, tout en offrant un vrai gain de sécurité par rapport à un simple renfort mousse. Dainese ajoute des renforts en cuir à l’extrémité des doigts, une zone qui s’use vite et peut toucher le sol lors d’une glissade. La paume en daim synthétique offre une certaine résistance à l’abrasion, même si on reste en-dessous d’un gant cuir intégral typé sport. Pour autant, dans le cadre de l’usage visé (trajets, touring, urbain + péri-urbain), la protection est cohérente et suffisante.

Là où le TEMPEST 2 D-DRY Woman marque des points, c’est dans l’équilibre entre protection et confort. Pas de grosses coques rigides qui cognent sur le guidon, pas de sliders inutiles pour le marché visé. On sent que la priorité a été donnée à la protection des zones vraiment exposées, sans transformer le gant en armure. Les doigts pré-courbés aident aussi indirectement à la sécurité : moins de fatigue, plus de précision sur les freins, donc moins de risque de mauvaise manipulation. Côté visibilité passive, les inserts réfléchissants sont là pour attirer un peu l’attention la nuit, ce qui n’est jamais de trop en hiver quand il fait nuit à 17h. Est-ce un gant pour aller tourner sur circuit ? Non. Est-ce un gant sécurisant pour affronter la ville, la route mouillée et les trajets quotidiens ? Oui, clairement. Bref : protection logique, sans surjouer la fiche technique.

Protection :
8 / 10

Ventilation & Respirabilité : pour l’hiver, pas pour le mois d’août

On parle ici d’un gant moto hiver imperméable, donc ne rêvons pas : niveau ventilation, l’objectif n’est pas de faire rentrer l’air, mais plutôt d’empêcher le vent glacial de s’inviter. Les TEMPEST 2 D-DRY Woman assument totalement cette vocation. Il n’y a pas de ventilations directes, et c’est normal. En revanche, la membrane D-Dry est conçue pour être respirante, ce qui limite la sensation de moiteur lors des trajets plus longs ou un peu plus dynamiques. En pratique, sur route froide et humide, la main reste chaude sans se transformer en sauna. Sur un usage typiquement hivernal (5–10°C, pluie possible), l’équilibre est bon : pas de main glacée, pas d’étuve au bout de 20 minutes. C’est exactement ce qu’on attend d’un gant d’hiver touring moderne.

Là où il faut être honnête, c’est sur l’utilisation hors saison : dès que les températures remontent franchement, disons au-dessus de 15–18°C, on sent que les gants deviennent trop chauds, surtout en ville où l’on s’arrête souvent aux feux. La respirabilité de la membrane D-Dry fait ce qu’elle peut, mais elle ne peut pas compenser la doublure isolante, qui reste présente. Bref, ce n’est pas un gant quatre saisons, et il ne prétend pas l’être. Pour les motardes cherchant un seul gant à l’année, il faudra compléter avec un modèle été ou mi-saison. Mais pour ce qu’il est censé faire – protéger du froid, du vent et de la pluie hivernale tout en évacuant un minimum d’humidité – le TEMPEST 2 D-DRY Woman s’en sort très correctement.

Ventilation :
7 / 10

Étanchéité & Isolation : l’allié des journées grises

Sur la partie imperméabilité, les Dainese TEMPEST 2 D-DRY Woman cochENT toutes les cases. La membrane D-Dry est là pour bloquer efficacement la pluie, et en conditions réelles – averses soutenues, routes détrempées – les mains restent au sec. Pas d’infiltration notable au niveau des coutures ou des doigts pendant un trajet d’une bonne heure sous la flotte. La manchette, couplée au serrage, permet de bien recouvrir ou glisser sous la manche du blouson, limitant les risques d’entrées d’eau par le poignet. L’essuie-glace sur l’index est le petit détail qui fait toute la différence quand la visière se couvre de gouttes. Ce n’est pas juste un gadget marketing : sur voie rapide, on l’utilise vraiment, et on se demande vite pourquoi tous les gants pluie ne l’ont pas. Bref, de ce côté-là, Dainese ne triche pas.

Côté isolation thermique, la doublure Fiberfill remplit bien son rôle. En usage urbain et péri-urbain entre 0 et 8°C, les mains restent globalement confortables. Sur autoroute ou voie rapide, le froid finit par se faire sentir au bout d’un certain temps, surtout si vous êtes très frileuse, mais c’est dans la moyenne de ce type de gant touring hiver. On n’est pas sur un énorme gant « expédition polaire », et c’est aussi ce qui lui permet de préserver un peu de maniabilité. Le compromis isolation/souplesse est donc plutôt bien trouvé. En dessous de zéro, pour les gros rouleurs, des poignées chauffantes ou des manchons seront un bon complément. Pour la majorité des utilisations hivernales classiques (boulot, sorties week-end, trajets nocturnes froids), le TEMPEST 2 D-DRY Woman tient la route. Il garde la chaleur sans devenir un gros boudin informe autour de la main.

Étanchéité / Isolation :
8.5 / 10

Qualité de fabrication & Durabilité : pensé pour encaisser l’hiver, plusieurs fois

En termes de fabrication, on retrouve la patte Dainese : assemblage propre, matériaux sérieux, et peu de compromis visibles à l’œil nu. Le mélange tissu extensible, cuir et daim synthétique semble bien pensé pour encaisser un usage régulier : ville, périphérique, voire quelques balades plus longues. Les renforts cuir au bout des doigts sont une excellente idée pour la durabilité, car c’est souvent là que le gant se dégrade à force de tirer l’embrayage et le frein. Les coutures tiennent la route, aucune zone de faiblesse manifeste après manipulation et enfilages répétés. La membrane D-Dry est bien protégée par les couches extérieures, ce qui limite les risques de dégradation prématurée. On est sur un produit qui donne confiance sur plusieurs saisons hivernales d’affilée, tant qu’on en prend un minimum soin.

Évidemment, le daim synthétique de la paume s’usera un peu plus vite qu’un cuir pleine fleur très épais, surtout si vous roulez tous les jours, toute l’année, et que le scooter dort dehors. Mais pour un gant touring hiver femme, le compromis se tient : bonne accroche, toucher correct, et résistance décente. Un nettoyage régulier pour enlever le sel, la boue et la pollution aidera à prolonger la vie du gant, tout comme le séchage à température ambiante (jamais sur un radiateur brûlant). Les velcros de serrage paraissent robustes, ne peluchent pas au premier usage, et la manchette garde sa forme. Globalement, on a vraiment l’impression d’un produit conçu pour durer, pas d’un consommable d’une seule saison. Bref, ce ne sont pas des gants qu’on aura peur d’user : ils sont là pour ça.

Durabilité :
8.5 / 10

Rapport qualité/prix : du Dainese cohérent, pas du low-cost maquillé

Les Dainese TEMPEST 2 D-DRY Woman ne sont pas les gants les moins chers du marché, mais on ne joue clairement pas dans la même cour que l’entrée de gamme anonyme. Entre la membrane D-Dry, la doublure Fiberfill, la coque Comf-tek, la coupe femme travaillée et les petits plus comme le Smart Touch et l’essuie-visière, la fiche technique est plutôt bien remplie. Surtout, le ressenti au guidon confirme l’intérêt de l’investissement : confort réel, bonne protection pour l’usage visé, et polyvalence pluie/froid tout à fait convaincante. Si l’on compare avec certains gants hiver très volumineux mais mal coupés, la différence de tarif se justifie rapidement en termes d’expérience quotidienne. Ce n’est pas seulement un achat rationnel, c’est aussi un gain de confort sur chaque trajet sous la pluie.

Là où le rapport qualité/prix est particulièrement intéressant, c’est pour les motardes et scootéristes qui roulent vraiment en hiver : domicile-travail, sorties le soir, week-ends froids. Dans ce contexte, un gant fiable, imperméable et durable se rentabilise vite. On apprécie aussi la certification CE EN 13594 niveau 1, qui vient rassurer sur le niveau de sécurité. Oui, on peut trouver moins cher, mais rarement avec ce mix de confort, de finition et de fonctionnalités. Et non, ce n’est pas non plus un gant ultra-premium hors de prix. Il se place dans un segment intermédiaire sérieux, où l’on en a vraiment pour son argent. Bref : si vous cherchez un gant moto hiver femme imperméable pour plusieurs saisons, le TEMPEST 2 D-DRY Woman est un investissement cohérent, sans effet de mode forcé.

Qualité / Prix :
8 / 10

Verdict : un vrai gant hiver femme pour rouler, pas pour faire joli

Au final, les Dainese TEMPEST 2 D-DRY Woman tiennent largement leurs promesses : ce sont de vrais gants moto hiver pour femme, conçus pour affronter la pluie, le vent et le froid sans sacrifier complètement la maniabilité. La coupe spécifique femme, la membrane D-Dry, la doublure Fiberfill et la coque Comf-tek créent un ensemble cohérent pour le quotidien comme pour les trajets plus longs. On apprécie particulièrement les détails malins : doigts pré-courbés, système Smart Touch pour l’écran tactile, essuie-visière sur l’index, inserts réfléchissants bien intégrés. Pas d’effet “gros boudins” inutilisables : on reste capable de freiner, d’embrayer et de manipuler les commandes sans se battre. En clair, c’est un gant pensé pour celles qui roulent vraiment, pas pour rester au chaud sur le parking.

Est-ce le gant parfait ? Non, évidemment. La ventilation est logiquement limitée et il sera trop chaud dès que les températures remontent, ce qui impose un second gant plus léger pour la belle saison. La protection, certifiée niveau 1, reste dans la logique d’un usage route/touring plutôt que purement sportif. Mais replacé dans sa catégorie – gants hiver imperméables pour femme, orientés confort et usage réel – le TEMPEST 2 D-DRY Woman coche beaucoup de cases. Il s’adresse aux motardes et scootéristes qui roulent par tous les temps, cherchent du confort sans renoncer à la sécurité, et veulent un produit durable plutôt qu’un gadget de mode. Bref, il fait le job, sans tricher, et c’est exactement ce qu’on lui demande.

Note finale :
8.3 / 10

Avis des utilisatrices : chaud, fiable… et on garde le contrôle

Les retours d’utilisatrices sur les TEMPEST 2 D-DRY Woman vont globalement dans le même sens : un gant jugé confortable, chaud et bien fini, avec une coupe femme vraiment appréciée. Beaucoup soulignent la sensation de main bien enveloppée sans être écrasée, ainsi que la facilité à manipuler les commandes par rapport à d’autres gants hiver plus massifs. La qualité perçue est régulièrement citée comme un point fort : coutures propres, matériaux agréables, fermeture manchette rassurante. Côté météo, la plupart confirment une bonne tenue sous la pluie et dans le froid, surtout sur les trajets domicile-travail. Le Smart Touch fait aussi son petit effet auprès de celles qui utilisent un GPS ou consultent leur smartphone à l’arrêt. En résumé : un gant qui inspire confiance au quotidien.

Quelques remarques reviennent toutefois, histoire de nuancer. Certaines trouvent le gant un peu chaud dès que la température dépasse la dizaine de degrés, surtout en ville, ce qui confirme qu’il est clairement taillé pour l’hiver et la demi-saison froide, pas plus. D’autres auraient aimé une sensation encore plus fine sur les commandes, notamment pour les machines plus sportives ou les petites mains très exigeantes sur le feeling. Mais, globalement, la satisfaction est élevée : les utilisatrices saluent un vrai compromis entre chaleur, étanchéité et confort de pilotage. Beaucoup concluent en disant qu’elles ont enfin trouvé un gant hiver femme imperméable qu’elles n’hésitent pas à enfiler, même pour de courts trajets, parce qu’il reste agréable à porter. Et ça, c’est souvent le meilleur test en conditions réelles.