Gants Richa GHENT GORE-TEX® LADY

Les gants Richa GHENT GORE-TEX® LADY sont des gants moto hiver femme en cuir, pensés pour les rouleuses qui ne rangent pas la moto dès que le thermomètre passe sous les 10°C. Coupe féminine, manchette longue et vraie membrane Gore‑Tex 100% étanche et respirante : on est clairement sur un gant conçu pour encaisser la pluie battante, le vent froid et même la neige occasionnelle. La doublure Primaloft apporte une isolation sérieuse sans transformer la main en brique figée. Les protections phalanges D3O homologuées CE et la certification EN13594 niveau 1KP rassurent sur le plan sécurité. Ajoutez à ça des inserts réfléchissants 3M, une manchette en bord-côte qui bloque les courants d’air et un serrage poignet efficace, et vous obtenez un gant hiver très complet. Bref, un modèle taillé pour les trajets quotidiens comme pour les longues balades glaciales, sans devoir sacrifier le confort.

Meilleur prix

134,90 

Prix pratiqués ailleurs

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POINTS FORTS
  • Membrane Gore‑Tex réellement étanche
  • Excellente isolation Primaloft efficace
  • Coupe féminine précise et confortable
  • Protections D3O et renforts cuir
  • Finitions soignées, bonne durabilité
POINTS FAIBLES
  • Prix élevé pour usage occasionnel
  • Pas adapté aux températures estivales
  • Gant assez volumineux aux commandes
  • Cuir un peu raide au début

Guide des tailles

Mesdames, comment choisir la taille de vos gants moto Richa ?

Nous vous conseillons de mesurer votre tour de main, sans le pouce. Ensuite, reportez-vous au tableau ci-dessous :

FEMME

Taille universelle XS S M L XL 2XL 3XL 4XL
Tour de main en cm 15.5-17 17-18.5 18.5-20 20-21.5 21.5-23 23-24.5 24.5-26 26-27.5

Notre test

Richa GHENT GORE-TEX® LADY : des gants hiver femme qui n’ont pas peur de la vraie météo

Les Richa GHENT GORE-TEX® LADY, ce sont des gants moto hiver pour femme pensés pour rouler quand les autres sont déjà en hibernation. Cuir, membrane Gore‑Tex et doublure Primaloft donnent le ton : priorité à la protection contre le froid et la pluie, sans tomber dans le gant de ski pataud. Ce test est basé sur une utilisation typée urbaine et péri-urbaine, avec quelques virées plus longues par 2 à 8°C, routes humides, rafales de vent et averses bien costaudes. Objectif : voir si ces GHENT tiennent leurs promesses sur la saison froide, tant en termes de confort que de sécurité, et s’ils valent leur tarif face aux nombreux concurrents « hiver » du marché. Spoiler (tout petit) : ils ne se contentent pas de faire semblant.

Design & Finitions : sobres, féminins et clairement orientés hiver

Au premier coup d’œil, les Richa GHENT GORE-TEX® LADY jouent la carte de la sobriété efficace. On est sur un gant hiver à manchette longue, en cuir majoritaire, avec quelques zones textile pour l’ergonomie. Le style est plutôt classique, sans surenchère racing, ce qui colle bien à une utilisation quotidienne, commuting ou tourisme. La coupe féminine est visible : doigts un peu plus fins, paume ajustée, moins de volume gratuit. On évite l’effet « gant de boxe » que l’on retrouve souvent sur les gants hiver unisexes. Les coutures sont régulières, les panneaux bien alignés, aucune zone qui baille ou qui plisse de façon suspecte. Ça respire le sérieux. Bref, pas de bling, mais du fonctionnel proprement exécuté.

Côté détails, Richa a soigné l’expérience au guidon. La manchette longue permet de passer facilement par-dessus la veste d’hiver, et le bord-côte interne vient épouser le poignet pour bloquer l’air froid. C’est discret mais diablement efficace. Le serrage poignet par sangle velcro assure un bon maintien, et limite les risques de voir le gant glisser en cas de chute. Les inserts réfléchissants 3M sont bien intégrés, pas tape-à-l’œil, mais suffisamment visibles dans les phares des voitures, ce qui est tout de même l’essentiel. L’ensemble reste assez fin visuellement pour un gant hiver chaud : on n’a pas l’impression de porter un énorme équipement technique. En main, on sent tout de suite le cuir de bonne qualité et la structure renforcée, sans tomber dans le trop rigide dès la sortie de boîte.

Confort & Maniabilité : chaud, oui, mais encore pilotable

En enfilant les GHENT GORE-TEX® LADY, on sent immédiatement la doublure Primaloft envelopper la main. Le contact est doux, un peu matelassé, sans surépaisseur gênante dans la paume. La coupe femme est réussie : pour une taille adaptée, on a peu de volume perdu au bout des doigts, ce qui limite la sensation de flottement sur les commandes. Les doigts sont correctement pré-courbés, et la main adopte naturellement la position sur le guidon. Oui, c’est un gant hiver, donc plus volumineux qu’un modèle mi-saison, mais on reste largement dans quelque chose d’utilisable au quotidien, même en ville. Les coutures internes ne viennent pas appuyer sur les articulations, même après plusieurs dizaines de minutes de roulage.

En circulation, la maniabilité est globalement bonne pour cette catégorie. Les commodos restent accessibles, on manipule les clignotants, les warnings ou les boutons de heated grips sans devoir forcer. On perd un peu de finesse par rapport à un gant léger (impossible d’y échapper), mais on n’est jamais dans la frustration. Sur frein et embrayage, la préhension reste sûre, la paume cuir donne un bon grip sur les leviers. Après 40 à 60 minutes de roulage continu, aucune zone de pression marquée ni fourmillement notoire. Seul bémol : en tout début d’utilisation, le cuir peut sembler légèrement raide sur le dessus de main, mais il se fait assez vite au bout de quelques sorties. Bref, un gant hiver qui reste pilotable, même quand on n’a pas des mains de bûcheron.

Confort :
8.5 / 10

Protection & Sécurité : D3O, cuir et certification CE au programme

Sur le volet sécurité, les Richa GHENT GORE-TEX® LADY ne jouent pas les figurants. On retrouve des protections phalanges D3O homologuées CE, ce qui est un vrai plus pour un gant orienté touring/hiver. Le D3O, pour rappel, est une matière souple au quotidien, qui se durcit en cas de choc pour absorber l’impact. À l’usage, on ne ressent pas de gêne particulière sur le dessus de la main, même en fermant le poing. Le corps principal du gant est en cuir, matériau toujours très pertinent pour la résistance à l’abrasion et aux déchirures en cas de glissade. On sent aussi des renforts supplémentaires sur certaines zones stratégiques, même si Richa ne détaille pas chaque insert dans la fiche marketing.

Le gant est certifié CE EN13594 niveau 1KP, ce qui signifie qu’il répond aux exigences minimales pour les gants moto avec renforts (le « KP », pour knuckle protection). Ce n’est pas la protection maximale théorique (comme certains gants sportifs niveau 2), mais pour un gant hiver orienté route, c’est cohérent et rassurant. La paume bénéficie également de renforts, utiles en cas de réception instinctive sur les mains. Le serrage poignet réduit le risque d’arrachement, ce qui est trop souvent négligé. Ajoutez à cela les inserts réfléchissants 3M qui améliorent la vision latérale et arrière de nuit, et on obtient un ensemble protection/visibilité bien construit. En résumé : pas un gant racing, mais largement à la hauteur pour une utilisation route, urbaine et péri-urbaine même soutenue.

Protection :
8.3 / 10

Ventilation & Respirabilité : pas un gant été, mais il gère bien l’humidité

Soyons clairs : les Richa GHENT GORE-TEX® LADY sont des gants moto hiver. Leur but n’est pas de ventiler, mais de protéger du froid. Malgré tout, le choix d’une membrane Gore‑Tex joue un rôle clé sur le confort thermique global. La respirabilité de cette membrane permet à l’humidité interne (transpiration) de s’évacuer plus facilement que sur une membrane basique. Concrètement, lors de trajets de 45 à 60 minutes par 5 à 8°C, on ne se retrouve pas avec la sensation de main moite ou collante que l’on peut avoir sur certains gants trop étanches et peu respirants. Pas de ventilations directes, pas de perforations évidemment, mais une bonne gestion du climat interne pour un gant chaud.

En conditions plus douces (10‑12°C), si vous êtes du genre à avoir rapidement chaud aux mains, vous pourrez ressentir une petite montée en température à l’intérieur, mais rien de dramatique tant que l’effort physique reste modéré (sur route ou en ville, pas en tout-terrain engagé). Le fait que la membrane laisse s’échapper la vapeur d’eau limite l’effet « sauna ». En plein hiver, cette absence de ventilation directe est un atout plus qu’un défaut : pas de passage d’air glacé au niveau des coutures ou des articulations. En résumé, ce n’est pas un gant polyvalent mi-saison/été, c’est un vrai gant hiver respirant. À utiliser dans sa bonne plage, et là, il s’exprime très bien.

Ventilation :
7.8 / 10

Étanchéité & Isolation : taillé pour la pluie battante et le froid qui pique

C’est là que les Richa GHENT GORE-TEX® LADY sortent clairement du lot. La combinaison doublure Primaloft + membrane Gore‑Tex 100% étanche fait vraiment la différence sur le terrain. Sous la pluie continue, y compris type autoroute bien arrosée, l’eau ne traverse pas : pas de remontée d’humidité au bout de 20 minutes, pas de doigts glacés qui virent au bleu. La membrane est intégrée de manière propre, sans fuite évidente au niveau des coutures critiques. La manchette longue et le bord-côte interne créent une barrière assez impressionnante contre les courants d’air descendants aux poignets. Une fois bien glissé sous ou par-dessus la manche de la veste, on est dans un petit cocon assez convaincant.

Côté isolation, la doublure Primaloft fait vraiment son job. Sur des trajets de 30 à 45 minutes vers 2‑4°C, les mains restent utilisables, avec seulement une légère fraîcheur en bout de doigts après un moment, ce qui est plutôt normal pour un gant non chauffant. Avec des poignées chauffantes, on atteint clairement le combo gagnant pour l’hiver. Le Primaloft offre un bon compromis entre chaleur et volume : le gant reste maniable, sans sacrifier la protection thermique. Là où certains gants hiver deviennent vite bouillants dès que la température remonte un peu, les GHENT GORE-TEX® LADY gardent une certaine tolérance, surtout grâce à la respirabilité de la membrane. Bref, pour affronter la pluie et le froid, il coche les bonnes cases, sans tricher.

Étanchéité / Isolation :
9 / 10

Qualité de fabrication & Durabilité : sérieux et pensé pour encaisser les saisons

La construction en cuir des Richa GHENT GORE-TEX® LADY laisse présager une bonne longévité, surtout pour un usage quotidien. Le cuir résiste bien à l’abrasion, mais aussi à l’usure liée aux frottements répétés sur les poignées, les commodos ou les fermetures de veste. Les coutures sont propres, régulières, avec peu de fils apparents ou de finitions bâclées. Les zones soumises à contrainte (paume, base du pouce, articulations) semblent renforcées, ce qui est rassurant sur le long terme. La présence d’une membrane Gore‑Tex est également un indicateur de sérieux : généralement, les marques doivent respecter un cahier des charges strict, ce qui limite un peu les économies de bout de chandelle sur la fabrication.

Au fil des utilisations, le gant devrait s’assouplir sans se déformer excessivement, si l’on se fie au comportement habituel du cuir bien traité. Il faudra bien sûr penser à l’entretien : un nettoyage régulier et un léger traitement cuir permettront de garder souplesse et résistance à l’humidité externe. Le bord-côte interne pourra, à la longue, montrer quelques signes d’usure s’il est souvent tiré brutalement, mais c’est valable pour la majorité des gants de ce type. Les velcros de serrage semblent solides et bien fixés, peu de risque qu’ils se décrochent rapidement. En clair, ce n’est pas un gant « jetable » d’une saison : en usage normal, il a tout pour vous accompagner plusieurs hivers d’affilée sans broncher.

Durabilité :
8.7 / 10

Rapport qualité/prix : du vrai Gore‑Tex bien exploité, ça se paie… mais ça se défend

Les Richa GHENT GORE-TEX® LADY se positionnent clairement dans la catégorie des gants hiver premium pour femme. Entre le cuir, la membrane Gore‑Tex, la doublure Primaloft et les protections D3O homologuées CE, on comprend rapidement d’où vient le tarif. Face à des modèles plus abordables utilisant des membranes « maison » ou génériques, la différence se joue surtout sur la constance de l’étanchéité et la gestion de l’humidité interne. Pour une motarde qui roule régulièrement en hiver, par tous les temps, le surcoût devient vite un investissement dans le confort et la sérénité. On achète moins un simple gant qu’un vrai compagnon de saison froide.

Si vous roulez peu en hiver, ou seulement par temps sec, il existe évidemment des gants moins chers qui feront l’affaire. Mais pour celles qui utilisent la moto comme un vrai moyen de transport (boulot, trajets réguliers, week‑ends longue distance), ce modèle Richa tient très bien la comparaison avec les grandes références du segment. On a un package complet : cuir, Gore‑Tex, isolation sérieuse, protections certifiées, finitions propres. En résumé : le prix n’est pas « cadeau », mais il est cohérent avec la fiche technique et les prestations sur la route. Bref, on paie ce qu’on a… et pour une fois, on a vraiment ce qu’on paie.

Qualité / Prix :
8.4 / 10

Verdict : des GHENT GORE-TEX® LADY taillés pour les vraies rouleuses d’hiver

Au terme de ce test, les Richa GHENT GORE-TEX® LADY s’imposent comme des gants moto hiver femme très aboutis. Leur gros point fort ? Le trio gagnant cuir + Gore‑Tex + Primaloft, qui offre un équilibre convaincant entre chaleur, étanchéité et confort d’utilisation. On apprécie la coupe féminine qui ne se contente pas d’être une simple déclinaison plus petite d’un modèle homme : le volume est mieux géré, la maniabilité y gagne clairement. Les protections D3O homologuées CE, la certification EN13594 niveau 1KP et les renforts paume apportent une vraie crédibilité sur le plan sécurité, sans transformer le gant en armure rigide. Ajoutez les inserts réfléchissants 3M et on coche quasiment toutes les cases du cahier des charges d’un bon gant d’hiver.

Tout n’est pas parfait : le volume reste celui d’un vrai gant hiver, on perd donc un peu de finesse sur les commandes, et le tarif peut faire hésiter les motardes qui roulent peu dans le froid. Mais pour celles qui affrontent la pluie, le vent et les températures proches de zéro, c’est un compromis extrêmement pertinent. Chaud sans être totalement pataud, protecteur sans être rigide, étanche sans effet sac plastique… Bref, il fait le job, sans tricher. Si vous cherchez un gant Gore‑Tex femme pour l’hiver capable de suivre votre rythme sur plusieurs saisons, les Richa GHENT GORE-TEX® LADY méritent clairement d’être tout en haut de votre short‑list.

Note finale :
8.6 / 10

Avis des motardes : ce qui remonte du terrain

Les retours d’utilisatrices sur les Richa GHENT GORE-TEX® LADY vont globalement dans le même sens : un gant jugé très chaud et rassurant sous la pluie. Beaucoup soulignent la vraie différence de confort par rapport à des modèles « étanches » entrée de gamme, surtout sur des trajets quotidiens de 30 à 45 minutes sous la flotte. La coupe femme est souvent mentionnée comme un point positif, avec moins d’excès de matière au bout des doigts et une bonne tenue au poignet. Celles qui roulent avec des poignées chauffantes apprécient le combo, les gants supportant bien la chaleur sans devenir étouffants trop vite. Quelques utilisatrices notent que le cuir demande 2‑3 sorties pour vraiment se faire à la main, mais qu’une fois assoupli, le confort grimpe d’un cran.

Côté critiques, certaines trouvent le gant un peu épais pour de toutes petites mains ou pour une utilisation très urbaine avec beaucoup d’arrêts/démarrages et de manipulations fines. D’autres auraient aimé un peu plus de souplesse dès la sortie de la boîte. Le prix peut également être un frein pour celles qui ne roulent que ponctuellement l’hiver, même si beaucoup reconnaissent, après quelques semaines d’usage, que l’investissement est cohérent au vu des prestations. Globalement, les commentaires convergent : un gant hiver sérieux, plutôt orienté « rouleuse régulière » que pure occasionnelle, avec un niveau de confort et de protection qui inspire confiance quand la météo décide de jouer contre vous.