Gants Alpinestars SR-3 V2 DRYSTAR

Les Alpinestars SR-3 V2 Drystar sont des gants moto hiver pensés pour les trajets quotidiens comme pour les balades dans le froid humide. Construction en tissu polyamide résistant, paume en cuir synthétique et membrane Drystar 100% imperméable et respirante : sur le papier, tout ce qu’il faut pour rouler sous la pluie sans transformer vos doigts en glaçons. La doublure thermique Thinsulate 100 g sur le dessus de la main apporte une vraie réserve de chaleur, tandis que la longue manchette et le double serrage (poignet élastiqué + patte Velcro) assurent un bon maintien. Certifiés CE EN13594 niveau 1, ils visent clairement le pilote qui cherche un gant d’hiver fiable, simple et abordable. Pas des gants racing, mais des gants malins pour affronter le quotidien. Bref, un modèle « plug & ride » pour l’hiver, sans prise de tête.

Meilleur prix

59,90 

Prix pratiqués ailleurs

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POINTS FORTS
  • Excellente étanchéité sous la pluie
  • Isolation thermique efficace en hiver
  • Très bon rapport qualité prix
  • Confort global bien maîtrisé
  • Certification CE EN13594 niveau 1
POINTS FAIBLES
  • Trop chaud dès la mi-saison
  • Dextérité limitée sur les commandes
  • Volume important pour petites mains

Guide des tailles

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GANTS HOMME

Taille Universelle Tour de paume (en cm)
S 17.8-20.3
M 20.3-21.6
L 21.6-22.9
XL 22.9-24.1
2XL 24.1-25.4
3XL 25.4-27.9

Notre test

Alpinestars SR-3 V2 Drystar : les gants hiver sans chichis qui aiment la pluie

Les gants moto hiver Alpinestars SR-3 V2 Drystar, c’est un peu le couteau suisse du motard urbain et péri-urbain : simples, efficaces, et taillés pour la flotte. On est clairement sur un gant routier/touring plutôt que sportif, pensé pour ceux qui roulent par tous les temps sans forcément chercher la dernière techno racing. Entre la membrane Drystar imperméable, la doublure Thinsulate et la manchette longue, on sent qu’Alpinestars vise les trajets boulot-dodo, les nationales froides au petit matin et les retours sous la pluie. Pas le gant le plus sexy du marché, mais ce n’est pas le but : ici, priorité au confort thermique et à la praticité. Bref, un gant du quotidien, pour les vrais qui continuent de rouler quand les autres rangent la moto.

Design & Finitions : discret, mais bien pensé pour l’hiver

Visuellement, les Alpinestars SR-3 V2 Drystar misent sur la sobriété. Pas de coques agressives ni de couleurs fluo : on est sur un look routier classique, parfaitement adapté à une utilisation urbaine, trail ou GT. Le corps du gant est en tissu polyamide, un matériau connu pour sa résistance à l’abrasion et sa durabilité. La paume reçoit un cuir synthétique qui donne tout de suite une sensation de grip et de robustesse, même si ce n’est évidemment pas du cuir pleine fleur haut de gamme. Les lignes sont propres, les coutures bien terminées, et l’ensemble fait sérieux en main. On sent que le cahier des charges était clair : faire un gant d’hiver fonctionnel, sans tomber dans la surenchère esthétique.

Côté ergonomie, on retrouve un insert stretch sur la paume pour améliorer l’ajustement lorsque la main se referme sur le guidon. Les doigts pré‑courbés renforcent cette impression de naturel en position de conduite, ce qui évite l’effet « gant rigide qui lutte contre vous » que l’on rencontre parfois sur des modèles hiver entrée de gamme. La manchette longue permet de bien recouvrir la manche du blouson, avec une ouverture assez large pour s’adapter à différents types d’équipements. Le design général reste sobre, mais les petits détails pratiques (compatibilité écran tactile, rembourrage au niveau du poing) montrent qu’Alpinestars a pensé à un usage réel, pas juste à une fiche produit flatteuse. Pas tape-à-l’œil, mais très cohérent.

Confort & Maniabilité : du volume, mais ça reste bien contrôlé

Les gants moto hiver sont rarement des modèles de finesse, et les SR-3 V2 Drystar ne font pas exception. La doublure thermique Thinsulate 100 g sur le dessus de la main offre une belle épaisseur isolante, ce qui ajoute un peu de volume, surtout autour des doigts. Malgré ça, la pré‑courbure des doigts et l’insert stretch dans la paume limitent assez bien la gêne : on s’habitue vite, même en ville avec beaucoup de manipulations poignée/frein/embrayage. Le gant se chausse facilement, le poignet élastiqué évite de devoir tirer comme un malade, et la doublure reste globalement bien en place, sans trop se retourner quand on retire la main un peu vite. On est bien, au chaud, sans se sentir coincé non plus. Pour un gant hiver, c’est déjà un bon point.

En roulant, on sent clairement que le SR-3 V2 est pensé pour le confort au quotidien plutôt que pour une précision chirurgicale sur les commandes. Les sensations au levier sont un peu filtrées, comme souvent avec ce type de gant, mais on garde suffisamment de contrôle pour rouler sereinement, même en interfile. Les bouts de doigts compatibles écran tactile permettent d’utiliser le GPS ou le téléphone à l’arrêt sans retirer les gants, ce qui, en hiver, est un vrai plus pour ne pas perdre la chaleur accumulée. Les rembourrages au poing et sur certaines zones contribuent aussi au confort général, en supprimant quelques points de pression. Bref, il n’a pas la dextérité d’un gant mi‑saison, mais pour un hiver routier, il s’en sort très correctement.

Confort :
7.5 / 10

Protection & Sécurité : du sérieux pour un gant textile hiver urbain

Sur le volet sécurité, les Alpinestars SR-3 V2 Drystar jouent la carte de la conformité et du bon sens. Ils sont certifiés CE EN13594 niveau 1, ce qui signifie qu’ils répondent aux exigences de base en matière de résistance à l’abrasion, à la coupure et aux chocs. Le tissu polyamide extérieur, combiné à la paume en cuir synthétique, assure une protection correcte pour un gant orienté usage urbain et péri‑urbain. On n’est pas au niveau d’un gant racing coqué, mais ce n’est pas leur positionnement. Le poing rembourré apporte un minimum d’absorption en cas de choc, tout en restant souple et confortable. C’est protecteur, mais pas intimidant pour les débutants ou les gros rouleurs quotidien.

Là où ces gants font un choix assumé, c’est sur la discrétion des protections rigides. Pas de grosse coque apparente, pas de sliders agressifs : la protection est plus « soft », intégrée dans le volume du gant. Ça plaira à ceux qui cherchent des gants moto hiver homologués sans look sportif. En usage réel, pour les trajets travail, les balades à rythme raisonnable et la ville, le niveau de protection proposé est cohérent. Pour de la route rapide sous forte pluie ou des longs trips, certains préfèreront peut‑être un modèle avec plus de renforts rigides, surtout sur la paume. Mais pour la cible visée – l’utilisateur quotidien qui affronte le froid plutôt que l’arsouille – le compromis sécurité/confort est bien dosé. Bref, ce n’est pas un gant piste, mais pour l’usage visé, il tient son rang.

Protection :
7 / 10

Ventilation & Respirabilité : pensé pour le froid, pas pour le printemps

Il faut être clair : les SR-3 V2 Drystar sont des gants moto hiver. Donc si vous cherchez un gant très ventilé, vous n’êtes clairement pas au bon rayon. Ici, la priorité est la conservation de la chaleur, pas le flux d’air. En revanche, la présence de la membrane Alpinestars Drystar 100% imperméable et respirante joue un rôle important : elle limite l’accumulation d’humidité intérieure due à la transpiration. Sur des trajets urbains ou de moyenne durée, on évite ainsi l’effet « sauna » à l’intérieur, même quand on les garde sur les mains longtemps. La respirabilité reste correcte pour un gant chaud, ce qui participe beaucoup au confort global.

Évidemment, quand les températures remontent franchement, ces gants deviennent vite trop chauds : dès qu’on dépasse la mi‑saison douce, la doublure Thinsulate se rappelle à vous. En revanche, dans leur terrain de jeu naturel – l’hiver froid et humide – ce manque de ventilation devient une qualité. On garde les mains à l’abri du vent glacé, de la pluie et des projections, sans ressentir trop d’humidité interne tant qu’on reste dans un usage normal. Pour faire simple : non, ce ne sont pas des gants quatre saisons, mais comme gants hiver respirants, ils font le job, honnêtement. Et c’est déjà ce qu’on leur demande.

Ventilation :
6.5 / 10

Étanchéité & Isolation : faits pour la pluie et les matins bien froids

C’est sur ce chapitre que les Alpinestars SR-3 V2 Drystar montrent vraiment ce qu’ils ont dans le ventre. La membrane Drystar 100% imperméable est là pour garder vos mains au sec, même sous une pluie soutenue. En conditions réelles, cette techno est déjà largement éprouvée chez Alpinestars, et elle offre un très bon compromis entre étanchéité et respirabilité. Ajoutez à cela la manchette longue, qui recouvre bien la manche du blouson, et vous obtenez un combo efficace contre l’eau qui s’infiltre par le poignet. Sur les trajets quotidiens ou les sorties sous la flotte, le sentiment de sécurité face à la pluie est bien présent. On peut rouler longtemps sans sentir l’humidité progresser dans le gant.

Côté isolation, la doublure Thinsulate 100 g sur le dos de la main donne une vraie réserve de chaleur. C’est particulièrement appréciable pour les mains exposées au vent relatif, surtout sur les motos sans gros carénage. Sur trajets urbains, nationaux ou voies rapides, les SR-3 V2 gardent correctement la chaleur, tant qu’on reste dans des températures hivernales classiques (disons autour de 0 à 5°C). En dessous, comme toujours, tout dépendra de votre sensibilité au froid et de la présence éventuelle de poignées chauffantes. L’intérieur reste plutôt doux, sans points durs désagréables. Bref, ce sont de vrais gants hiver imperméables, pas juste des gants mi‑saison déguisés, et ça se sent dès les premiers kilomètres dans le froid humide.

Étanchéité / Isolation :
8.5 / 10

Qualité de fabrication & Durabilité : conçu pour encaisser le quotidien

Alpinestars a l’habitude des équipements qui doivent encaisser des milliers de kilomètres, et ces SR-3 V2 Drystar ne font pas exception. Le tissu polyamide principal est connu pour bien résister à l’abrasion et à l’usure due aux frottements répétés (poignée, commandes, contact avec le réservoir). La paume en cuir synthétique semble suffisamment renforcée pour supporter un usage quotidien, même en scooter avec beaucoup de freinage urbain. Les coutures sont propres, régulières, sans fils qui dépassent ou zones suspectes à première vue. Sur ce segment de gamme, on sent une fabrication sérieuse, sans tomber dans le luxe inaccessible. Le gant paraît fait pour durer plusieurs saisons si on en prend un minimum soin.

La membrane Drystar, déjà présente depuis longtemps sur d’autres produits de la marque, a fait ses preuves en termes de longévité, à condition de respecter quelques bonnes pratiques (séchage à l’air libre, pas de chaleur directe excessive, nettoyage doux). Le scratch Velcro du poignet et de la manchette semble correct, avec une accroche franche qui devrait bien résister aux ouvertures/fermetures répétées – un point qui vieillit parfois mal sur certains gants bas de gamme. On n’est pas sur un gant premium full cuir, mais pour un gant moto hiver textile destiné au quotidien, la durabilité annoncée semble cohérente. Bref, un compagnon de route qui ne devrait pas rendre les armes au premier hiver venu.

Durabilité :
8 / 10

Rapport qualité/prix : un hiver au chaud sans exploser le budget

Les Alpinestars SR-3 V2 Drystar se positionnent comme des gants hiver accessibles, issus d’une grande marque, avec une vraie membrane imperméable et une isolation correcte. Sur ce segment, le rapport équipement/prix est plutôt intéressant : membrane Drystar, doublure Thinsulate, manchette longue, homologation CE niveau 1, compatibilité écran tactile… Pour un usage quotidien en ville et sur route, le package est complet. On sent qu’Alpinestars a volontairement limité certains aspects « premium » (coques rigides, cuir haut de gamme, design très travaillé) pour rester dans une plage tarifaire raisonnable. Résultat : on paie pour des fonctions utiles, pas pour du marketing inutile. Et ça, ce n’est pas plus mal.

Face à des gants entrée de gamme sans vraie membrane ou avec une isolation trop légère, le SR-3 V2 se démarque par son sérieux global. Oui, il existe plus techniques, plus sportifs, plus luxueux… mais systématiquement plus chers. Ici, le compromis est clair : un gant moto hiver imperméable, chaud, confortable, certifié, sans faire fondre la carte bancaire. Pour le motard qui roule tous les jours, qui veut un produit fiable d’une marque reconnue, sans viser le très haut de gamme, le rapport qualité/prix est franchement cohérent. Bref, pas le roi du bling, mais un excellent élève en efficacité pure par euro dépensé.

Qualité / Prix :
8 / 10

Verdict : un vrai gant d’hiver pour rouler quand les autres restent au chaud

Au final, les Alpinestars SR-3 V2 Drystar cochENT l’essentiel de ce qu’on attend d’un gant moto hiver sérieux : chaleur correcte, membrane 100% imperméable, bonne ergonomie et certification CE. Ils ne cherchent pas à rivaliser avec des gants racing blindés de protections rigides, ni avec des modèles ultra‑techniques hors de prix. Leur terrain de jeu, c’est l’urbain, le péri‑urbain, la route de tous les jours, sous la pluie comme dans le froid. On apprécie particulièrement la longue manchette, la compatibilité écran tactile et la cohérence générale de la construction. Esthétiquement, ils restent sobres, presque discrets, ce qui en fait un bon choix pour tous les styles de motos, du scooter au trail routier.

Les limites ? Une dextérité forcément en retrait face à des gants plus fins, une ventilation quasi inexistante dès que les températures remontent, et une protection plus « soft » que certains modèles plus sportifs. Mais c’est aussi ce qui les rend confortables et faciles à vivre au quotidien. Si vous cherchez des gants hiver imperméables pour rouler tout l’hiver sans vous prendre la tête, les SR-3 V2 Drystar méritent clairement leur place dans votre short‑list. Bref, il fait le job, sans tricher, et c’est souvent ce qu’on attend vraiment de ce type d’équipement.

Note finale :
8 / 10

Avis des motards : ce qu’en pensent les utilisateurs sur le terrain

Les retours utilisateurs sur les Alpinestars SR-3 V2 Drystar vont globalement dans le même sens : des gants jugés confortables, chauds et vraiment étanches pour l’usage quotidien. Beaucoup de motards qui roulent en ville ou en périphérie apprécient le bon compromis entre chaleur et maniabilité, surtout pour un gant hiver textile. La membrane Drystar est souvent citée comme un point fort : même sous des averses répétées, l’intérieur reste sec. La manchette longue reçoit aussi de bons commentaires, notamment pour ceux qui roulent avec des blousons courts. En résumé, la majorité des utilisateurs confirment que ce modèle fait exactement ce qu’il promet, sans mauvaise surprise.

Quelques critiques reviennent toutefois : certains trouvent le gant un peu volumineux pour de très petites mains, ou aimeraient une protection plus marquée au niveau du poing. D’autres notent qu’en dessous de zéro degré prolongé, sans poignées chauffantes, la limite thermique se fait sentir – ce qui est assez logique pour un gant de cette catégorie. La compatibilité écran tactile fonctionne, mais reste parfois perfectible selon les smartphones. Malgré ces petits bémols, la satisfaction globale reste élevée, surtout si l’on tient compte du prix. Beaucoup de motards disent simplement qu’ils reprendraient le même sans hésiter pour un usage hivernal quotidien. Et venant de vrais utilisateurs, c’est souvent le meilleur label de qualité.