Gants cross Kenny TRACK 2023

Les gants cross Kenny TRACK 2023 sont pensés pour rouler fort sans se ruiner. Entièrement en matière synthétique, ils misent sur une construction légère, très ventilée, avec un grand empiècement en tissu mesh et une paume en clarino aérée. L’objectif est clair : garder les mains au frais et un bon feeling sur les commandes, même quand la manche s’éternise. On retrouve aussi un renfort au niveau du pouce pour limiter les frottements avec la poignée et les ampoules, des rubber patches bien placés et du silicone sur les doigts pour optimiser le grip sur le levier de frein et d’embrayage. Le velcro de serrage au poignet permet d’ajuster rapidement le maintien. Bref, ce sont des gants motocross légers, ventilés et abordables, calibrés pour l’entraînement, le loisir engagé et les terrains poussiéreux de l’été.

Meilleur prix

24,50 

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POINTS FORTS
  • Ventilation très efficace en chaleur
  • Très bon rapport qualité prix
  • Grip silicone performant sur les leviers
  • Excellent feeling sur les commandes
  • Renfort de pouce réellement utile
POINTS FAIBLES
  • Aucune étanchéité à la pluie
  • Isolation thermique quasi inexistante
  • Protection globale assez limitée
  • Paume peu renforcée en chute

Guide des tailles

Comment choisir la taille de vos gants cross Kenny ?

Elle se détermine par deux mesures : A - la largeur de la paume de la main, sans le pouce / B - la longueur de votre majeur. Faites la moyenne de vos deux mesures soit : (A+B)/2. Cette moyenne correspond à votre taille Kenny.

Reportez-vous ensuite au tableau ci-dessous :

ADULTE

Taille Kenny 7 8 9 10 11 12 13
Taille universelle XS S M L XL 2XL 3XL
Moyenne en cm 7 8 9 10 11 12 13

Notre test

Kenny TRACK 2023 : des gants cross simples, efficaces… et franchement joueurs

Les gants cross Kenny TRACK 2023, c’est un peu le combo classique du pilote de motocross qui veut du léger, du ventilé et du pratique, sans tomber dans le gadget marketing. Entièrement synthétiques, avec du mesh généreux et une paume en clarino aérée, ils misent sur la respirabilité et le feeling plutôt que sur la surenchère de protections rigides. Pensés pour le cross, l’enduro loisir et même le pit bike, ils visent le pilote qui roule souvent, transpirent beaucoup et veut garder une bonne accroche sur les commandes. Entre renfort de pouce, silicone sur les doigts et velcro de serrage au poignet, on est sur un gant « terrain » très fonctionnel. Pas parfait, mais clairement taillé pour enfiler les tours de piste sans se poser mille questions.

Design & Finitions : un look cross sans chichi, mais bien pensé

Visuellement, les Kenny TRACK 2023 assument à fond leur ADN motocross : coupe fine, look racé et matériaux orientés performance plutôt que bling-bling. La construction 100 % synthétique permet de garder un gant très léger, qui colle bien à la main. On sent que Kenny a voulu rester dans un style pur cross : du mesh respirant sur le dessus, une paume en clarino, des patches rubber pour le côté visuel et un peu de structure. Le résultat, c’est un gant qui a immédiatement l’air à sa place sur un terrain de cross ou en spéciale d’enduro. Les couleurs et graphismes (selon les décos) restent bien dans la ligne de la marque : sportifs, assez agressifs, mais lisibles et faciles à assortir avec un maillot Kenny ou une autre tenue. Rien de révolutionnaire, mais il coche les cases essentielles pour un gant motocross moderne.

Côté finitions, on est dans la bonne moyenne de ce qu’on attend d’un gant cross de ce niveau de gamme. Les coutures sont propres, globalement régulières, avec peu de surépaisseurs gênantes sur l’intérieur de la main. Les rubber patches ne sont pas là juste pour faire joli : ils rajoutent un peu de maintien sur le dessus, sans alourdir le gant. Le serrage par velcro au poignet est classique, mais efficace, avec une patte suffisamment large pour bien prendre la fermeture. On reste cependant sur un produit typé « usage sport loisir » : pas de matériaux premium façon cuir haut de gamme, pas de double couture partout ni renforts massifs. Bref, c’est propre, fonctionnel, mais on sent que Kenny a misé sur la légèreté et le prix contenu plus que sur une finition ultra-luxueuse.

Confort & Maniabilité : du feeling avant tout

Dès qu’on enfile les gants Kenny TRACK 2023, on comprend leur philosophie : être oubliés une fois sur la moto. La coupe est près de la main, avec un volume globalement ajusté qui limite les plis dans la paume. La matière synthétique, assez souple, accompagne bien les mouvements des doigts, ce qui est crucial pour garder un bon dosage de frein et d’embrayage. Le renfort au niveau du pouce est un vrai plus pour le confort : sur les longues sessions, il réduit nettement les frottements contre la poignée et retarde l’apparition des ampoules. Pour un gant cross, qui doit encaisser des manches répétées, c’est loin d’être un détail. On sent bien aussi que la paume en clarino, plutôt fine, offre un contact précis avec les poignées, ce qui plaira aux pilotes qui aiment sentir la moto « en direct » sans épaisseur superflue.

En maniabilité pure, ils s’en sortent vraiment bien. Les doigts restent libres, la préhension des leviers est naturelle et les empiècements en mesh évitent la sensation de main enfermée. Le silicone sur les doigts apporte ce qu’il faut de grip sur les commandes, surtout quand la transpiration commence à se faire sentir ou que la boue s’invite sur les poignées. On n’est pas sur un gant rigide ou épais : ici, tout est orienté vers la mobilité. En contrepartie, ceux qui aiment un maintien plus « structuré » ou un gant un poil plus enveloppant pourront le trouver un peu minimaliste. Quelques pilotes aux mains très fines trouveront peut-être le volume légèrement généreux selon la taille choisie, mais globalement, la taille est cohérente. En résumé, niveau confort et maniabilité, il fait exactement ce que l’on attend d’un gant cross ventilé : il se fait oublier. Bref, il fait le job, sans tricher.

Confort :
8.5 / 10

Protection & Sécurité : le minimum utile pour le cross

Les gants motocross Kenny TRACK 2023 jouent clairement dans la catégorie des gants légers : ils offrent une protection de base, adaptée au terrain de cross et à l’enduro loisir, sans se transformer en gantelet blindé. Les nombreux rubber patches sur le dessus de la main amènent un petit supplément de protection contre les projections de cailloux, les branches et les chocs légers. Ce n’est pas un bouclier, mais cela fait la différence par rapport à un gant ultra-minimaliste type BMX. Le renfort au pouce améliore non seulement le confort, mais aussi la résistance dans cette zone souvent malmenée. En revanche, on ne trouve pas de coque rigide aux phalanges ni de renforts lourds sur la paume. On reste dans l’esprit « cross pur », où la priorité va au ressenti et à la ventilation plutôt qu’à la protection maximale en cas de grosse chute sur route.

En termes de sécurité globale, il faut donc bien le replacer dans son contexte : ce sont des gants pour motocross, piste terre et tout-terrain, pas des gants urbains ou routiers pour l’asphalte. Pour un usage MX ou enduro loisir, le compromis est cohérent : suffisamment de renforts pour limiter les bobos du quotidien (petits impacts, abrasions légères, végétation), mais une construction extra-souple pour garder de la liberté de mouvement. Si vous cherchez un gant homologué route avec protections CE renforcées, ce n’est pas le bon produit. Si, en revanche, vous voulez un gant léger pour envoyer sur terrain privé ou sur piste de cross, sans carapace qui gêne, il coche les bonnes cases. On peut regretter une paume pas davantage renforcée pour les chutes plus sérieuses, mais là encore, on est en plein dans la philosophie du segment cross moderne.

Protection :
6.5 / 10

Ventilation & Respirabilité : taillés pour la chaleur et la poussière

C’est clairement le gros point fort des Kenny TRACK 2023. Avec leur empiècement en tissu mesh sur le dessus de la main et leur paume en clarino aérée, ils sont faits pour rouler quand il fait chaud, très chaud. L’air circule facilement à travers le gant, et on sent rapidement la différence par rapport à un modèle plus fermé dès que le rythme s’accélère. En motocross, où la combinaison maillot + plastron + casque finit vite par transformer le pilote en sauna ambulant, ce genre de gant très ventilé est un vrai soulagement. Les doigts respirent bien, les paumes accumulent moins de sueur, et la sensation de main « qui colle » aux poignées est nettement réduite. C’est exactement ce qu’on attend d’un gant cross été : léger, respirant, et capable de tenir une manche complète sans devenir étouffant.

Sur les sessions longues, la paume en clarino perforée fait vraiment la différence. La transpiration s’évacue mieux, le gant sèche rapidement entre deux manches, et on évite ce côté éponge imbibée que certains gants plus épais peuvent avoir. Attention toutefois : qui dit ventilation maximale dit aussi protection limitée contre le vent froid et les projections d’eau. En mi-saison fraîche ou dans les bois tôt le matin, on peut vite sentir l’air passer. Mais ce n’est pas un défaut, c’est le cahier des charges : ce sont des gants orientés chaleur, poussière, sable, voire indoor. Bref, dès que le thermomètre grimpe, ils se transforment en alliés sérieux, surtout pour les pilotes qui transpirent beaucoup des mains et qui veulent garder du grip et du contrôle sans sacrifier le confort thermique.

Ventilation :
9 / 10

Étanchéité & Isolation : à oublier, et c’est assumé

Soyons clairs : les gants Kenny TRACK 2023 ne sont ni étanches, ni isolés, ni pensés pour rouler sous la pluie battante ou en plein hiver. Et ce n’est pas un oubli, mais un choix assumé. Avec leur construction 100 % synthétique ultra-ventilée, tissu mesh et paume aérée, ils laissent passer l’air… et forcément l’eau. Au premier gros orage, vos mains seront mouillées, et il ne faut pas espérer rester au sec. Ce sont des gants cross été, pensés pour des conditions sèches ou légèrement humides au pire, pas pour affronter une liaison d’enduro pluvieuse de 40 kilomètres en montagne. Si vous cherchez une membrane étanche ou une doublure thermique, ce n’est clairement pas le bon modèle. Ici, tout est sacrifié sur l’autel du flux d’air et du ressenti direct.

Côté isolation, même combat : c’est très léger, très fin, quasi aucun rembourrage thermique. Dès que la température descend franchement, on ressent vite le froid sur les doigts, surtout à vitesse soutenue. Pour une pratique motocross typique, où l’on bouge beaucoup et où l’effort physique réchauffe naturellement, ce n’est pas dramatique. Mais pour un usage plus tranquille, type balade off-road en hiver, ce sera vraiment trop juste. On peut les détourner ponctuellement en mi-saison, mais leur zone de confort reste clairement du printemps à la fin de l’été. Bref, pas d’illusion : en étanchéité et isolation, ils sont objectivement faibles… mais ce n’est pas ce qu’on leur demande. Ils choisissent leur camp, et c’est celui de la chaleur et de la légèreté.

Étanchéité / Isolation :
3 / 10

Qualité de fabrication & Durabilité : corrects pour le prix, à surveiller si vous roulez fort

Du point de vue de la durabilité, les Kenny TRACK 2023 se défendent bien pour des gants 100 % synthétiques orientés cross loisir. La paume en clarino encaisse correctement les frottements répétés sur les poignées et les commandes, à condition de ne pas rouler comme un sauvage tous les week-ends dans la caillasse. Les coutures sont globalement propres, et le renfort au pouce retarde clairement l’usure dans cette zone fragile. Sur un usage normal (entraînement régulier, manches de course amateur, enduro léger), ils devraient tenir plusieurs saisons sans gros souci, surtout si l’on évite de les martyriser au karcher ou de les laisser sécher en boule au fond d’un sac. La nature synthétique des matériaux facilite aussi le séchage après un lavage rapide à l’eau tiède ou en machine cycle délicat.

Évidemment, on n’est pas sur la robustesse d’un gant cuir renforcé ou d’un modèle haut de gamme triplement cousu. À force de chutes, de frottements avec les repose-pieds, ou de sessions sable bien abrasives, la clarino et le mesh finiront par montrer des signes de fatigue : bouloches, légères décolorations, voire amorce de déchirure sur les zones de plis les plus sollicitées. Le velcro, comme toujours, peut perdre un peu de mordant au fil des lavages si on ne le ferme pas avant de les passer en machine. Mais au vu du positionnement prix et du segment, le rapport longévité / tarif reste très correct. Ce sont des gants qu’on n’a pas peur d’user, justement parce qu’ils sont faits pour rouler, s’encrasser, et repartir le week-end suivant. Bref, ils encaissent honnêtement, tant qu’on reste cohérent avec leur vocation loisir / entraînement.

Durabilité :
7.5 / 10

Rapport qualité/prix : clairement l’un de leurs atouts

C’est sans doute là où les gants cross Kenny TRACK 2023 marquent le plus de points : leur rapport qualité/prix est franchement intéressant. On profite d’un gant léger, très ventilé, bien pensé pour la pratique du motocross et de l’enduro loisir, sans exploser le budget. Pour les pilotes qui roulent souvent, qui ont besoin de renouveler régulièrement leur équipement ou qui veulent une deuxième paire dédiée à l’entraînement, c’est une option futée. On retrouve l’essentiel : renfort au pouce, silicone sur les doigts, velcro au poignet, mesh respirant, paume en clarino… à un tarif généralement contenu par rapport à certains concurrents plus « brandés » qui font payer cher le logo. On ne paye pas pour du superflu, mais pour un outil de roulage simple et efficace.

Bien sûr, pour ce prix, on n’a pas droit aux coques rigides sophistiquées, aux membranes techniques, ni aux finitions premium. Mais ce n’est pas le cahier des charges. Si votre priorité est de trouver des gants motocross pas chers mais sérieux, qui offrent un bon grip, une excellente ventilation et une construction cohérente pour le tout-terrain, les TRACK 2023 remplissent la mission. Ils s’adressent tout autant aux débutants qui veulent un premier équipement correct, qu’aux pilotes confirmés à la recherche d’une paire « mulet » pour l’entraînement quotidien. En résumé, on en a pour son argent, voire un peu plus lorsque l’on considère la ventilation et le confort. Pas parfaits, mais franchement bien positionnés au vu de ce qu’ils proposent.

Qualité / Prix :
8.5 / 10

Verdict : des gants cross honnêtes, légers, et taillés pour rouler souvent

Les Kenny TRACK 2023, ce sont des gants qui ne promettent pas la lune, mais qui assument parfaitement ce qu’ils sont : des gants motocross légers, ventilés et accessibles. Ils cochent toutes les cases pour une pratique off-road sportive mais réaliste : bonne ventilation grâce au mesh et à la paume aérée, grip efficace avec le silicone sur les doigts, confort global soigné aidé par le renfort de pouce, et serrage velcro simple mais fiable. En protection, ils restent dans la moyenne basse d’un gant cross léger : quelques patches rubber pour encaisser les petits chocs, mais pas de grosses coques ni de renforts lourds. À replacer dans le bon contexte : terrain de cross, enduro loisir, pas autoroute sous la pluie. C’est un gant qui privilégie le ressenti, le contrôle et le confort thermique.

Au final, si vous cherchez un gant cross été pour rouler souvent, sans vous ruiner et sans sacrifier le feeling au guidon, les Kenny TRACK 2023 sont un choix très cohérent. Ils ne feront pas rêver les chasseurs de technologie ultime, mais ils parleront à ceux qui veulent simplement enfiler leurs gants, tourner la poignée et s’amuser. Leur vraie force, c’est ce mélange de simplicité, d’efficacité et de prix contenu. Oui, ils sont un peu minimalistes en protection, oui, ils ne servent à rien sous la pluie froide de novembre. Mais pour les dimanches ensoleillés sur le terrain, les soirées d’été à envoyer des tours ou les manches d’entraînement qui s’enchaînent, ils sont dans leur élément. Bref, ils font le job, sans tricher, et c’est exactement ce qu’on leur demande.

Note finale :
8 / 10

Avis des pilotes & retours terrain

Les retours des utilisateurs des gants cross Kenny TRACK 2023 vont globalement dans le même sens : beaucoup saluent la légèreté et la ventilation, souvent décrites comme « bluffantes » pour cette gamme de prix. Les pilotes apprécient surtout le grip apporté par le silicone sur les doigts, qui sécurise bien le contact avec les leviers, même quand les mains commencent à transpirer. Le confort du pouce renforcé revient souvent parmi les points positifs, notamment chez ceux qui enchaînent les manches d’entraînement sur terrain sec. Plusieurs témoignages relèvent aussi une bonne tenue dans le temps pour une utilisation régulière, à condition de ne pas les maltraiter au lavage. Les critiques portent surtout sur l’absence de protection plus marquée et le manque d’intérêt en conditions froides ou humides, mais ce sont des limites logiques pour un gant typé été.

Certains utilisateurs notent que la taille peut légèrement varier selon les séries et conseillent de bien vérifier le guide de tailles ou d’essayer avant d’acheter, surtout si l’on est entre deux pointures. Quelques pilotes au style de pilotage plus agressif ou roulant beaucoup en terrain caillouteux auraient aimé une paume un peu plus épaissie. Mais dans l’ensemble, le sentiment qui ressort est celui d’un produit honnête, sans promesses exagérées, qui fait exactement ce qu’on attend lui : offrir un gant motocross ventilé, confortable et abordable. Nombreux sont ceux qui en rachètent une paire identique après avoir usé la première, ou qui les gardent comme gants d’entraînement tout en réservant un modèle plus haut de gamme pour la course. Un signe qui ne trompe pas : quand on les use, c’est qu’on roule vraiment avec.